Peugeot. La saga des breaks de 1939 à nos jours
Peugeot est indiscutablement spécialiste du break ! Qu’il s’agisse d’un Fiacre hippomobile baptisé de ce nom dès 1894 ou de la toute dernière 308 SW qui arrivera en concession début 2022, l’expertise du lion en la matière, n’est plus à faire. Retour sur une fort longue saga.
Les breaks et Peugeot, c’est une très longue histoire ! Elle commence avant même les débuts automobiles de la marque en 1896, puisque l’entreprise familiale proposait déjà, en 1894, un véhicule hippomobile dénommé Fiacre Peugeot Break.
Toutefois, les carrosseries break « automobiles », telles que nous les connaissons actuellement, ne sont apparues que très progressivement dans la gamme. C’est au tournant de la seconde guerre mondiale, avec des modèles carrossés partiellement en bois, à cause de la pénurie d’acier, que le break commence lentement mais sûrement à se faire une placeparmi l’offre du constructeur. Il s’agit encore de réalisations à la marge produites en toutes petites séries voire même à l’unité comme la Peugeot402.
… à l’offensive industrielle
Dès les années 1950, l’offensive industrielle est lancée avec la Peugeot 203 familiale. Sans relâche à ce jour, ses héritières ont systématiquement repris le flambeau. En témoigne la toute dernière génération de la Peugeot 308 SW, présentée en juin 2021 et qui arrivera en concession début 2022. Retraçons aujourd’hui la saga des breaks Peugeot, des modèles polymorphes acceptant sans broncher les diverses tâches qui leur ont été confiées, à l’image des robustes déclinaisons Dangel.
Ce panorama est également l’occasion de faire un tour d’horizon, au-delà des frontières hexagonales, pour évoquer les breaks Peugeot ayant tenté l’aventure, avec plus ou moins de succès, sur d’autres continents. Chaque marché a ses particularités et sa maturité, Peugeot s’est donc adapté.